Pêche miraculeuse
José, le dos courbé, errait dans les rues, la main tendue, mais son dénuement repoussant les soi-disant bien-pensants, il se jeta d’un pont et tomba sur le caboteur d’un pêcheur qui, après avoir pansé les plaies du suicidé, lui pansa le cœur en toute amitié.
Amour clan-destin
Dans leur école de Baabda, Nora et Aïssa, s’aimaient déjà, seulement voilà : une musulmane chiite n’épouse pas un chrétien maronite ; leurs deux familles très remontées tentant de les séparer, un oncle éloigné octroya à nos deux passionnés de quoi migrer pour enfin convoler, en toute liberté.
Bonjour Caroline,
J’ai découvert ton blog par les compagnons de l’ELS (j’en ai fait partie une année il y a déjà 2 ans je crois bien aouch !). Je suis ravie de découvrir ton univers et me ferai un plaisir de venir lire tes futures nouvelles. Je m’étais beaucoup amusée sur cette consigne en une phrase et ta pêche miraculeuse m’a fait grincer et sourire à la fin ! Au plaisir, Sabrina.